Juppé
Sarkozy avait parlé d'une moralisation du gouvernement. Pour illustrer très rapidement ses propos, il nomme n2 de son gouvernement : Alain Juppé !
La messe est dite très tôt : je dis ce que je veux mais je fais ce que je veux.
Alain Juppé avait été condamné en 2004 à dix huit mois de prison avec sursis et 10 ans d'inéligibilité. C'était en première instance. La justice avec cette forte peine dit clairement à quel point l'homme est jugé incapable de remplir un mandat électoral.
En appel, la peine est ramenée à 1 an d'éligibilité. Moins d'un an après, la justice évalue d'une manière très différente la même infraction. (passons sur les raisons).
Donc l'homme jugé en 2004, incapable de brigué un mandat électoral devient2 du gouvernement. Et c'est là que les différences de traitement s'affichent à la barbe de tous.
Alain Juppé ne devrait plus avoir le droit de travailler dans un gouvernement puisqu'il a été condamné pour une infraction commise au gouvernement où il s'est servi de son statut. Il y a des règles d'interdictions professionnelles pour protéger les autres et se protéger soi même.
Lorsqu'un citoyen est condamné pour attouchements sur enfants, il ne peut plus travailler dans un milieu où il côtoie des enfants.
Lorsqu'un citoyen est condamné parce qu'il volait dans la caisse, il ne peut plus travailler dans un milieu où il sera en contact avec l'argent.
Lorsqu'un policier use de son statut pour commettre des actes illicites, il ne peut plus être policier.
Etc.
Sarkozy lorsqu'il était ministre de l'intérieur remaniait, affinait sans cesse le fameux fichier STIC ( fichier où sont recensées toutes les personnes (pour une durée de 40ans !) ayant eu des condamnations ou ayant commis des infractions) certains employeurs s'en servent pour faire des enquêtes de moralité et il arrive que des employés soient licenciés parfois abusivement car ce fichier, "grâce" aux remaniements de Sarkozy, contient également des infractions n'ayant pas entraînés de condamnation.
On peut donc être tous fichés un jour l'autre mais vraisemblablement pas être traités de la même manière.
La messe est dite très tôt : je dis ce que je veux mais je fais ce que je veux.
Alain Juppé avait été condamné en 2004 à dix huit mois de prison avec sursis et 10 ans d'inéligibilité. C'était en première instance. La justice avec cette forte peine dit clairement à quel point l'homme est jugé incapable de remplir un mandat électoral.
En appel, la peine est ramenée à 1 an d'éligibilité. Moins d'un an après, la justice évalue d'une manière très différente la même infraction. (passons sur les raisons).
Donc l'homme jugé en 2004, incapable de brigué un mandat électoral devient2 du gouvernement. Et c'est là que les différences de traitement s'affichent à la barbe de tous.
Alain Juppé ne devrait plus avoir le droit de travailler dans un gouvernement puisqu'il a été condamné pour une infraction commise au gouvernement où il s'est servi de son statut. Il y a des règles d'interdictions professionnelles pour protéger les autres et se protéger soi même.
Lorsqu'un citoyen est condamné pour attouchements sur enfants, il ne peut plus travailler dans un milieu où il côtoie des enfants.
Lorsqu'un citoyen est condamné parce qu'il volait dans la caisse, il ne peut plus travailler dans un milieu où il sera en contact avec l'argent.
Lorsqu'un policier use de son statut pour commettre des actes illicites, il ne peut plus être policier.
Etc.
Sarkozy lorsqu'il était ministre de l'intérieur remaniait, affinait sans cesse le fameux fichier STIC ( fichier où sont recensées toutes les personnes (pour une durée de 40ans !) ayant eu des condamnations ou ayant commis des infractions) certains employeurs s'en servent pour faire des enquêtes de moralité et il arrive que des employés soient licenciés parfois abusivement car ce fichier, "grâce" aux remaniements de Sarkozy, contient également des infractions n'ayant pas entraînés de condamnation.
On peut donc être tous fichés un jour l'autre mais vraisemblablement pas être traités de la même manière.